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Emploi/Autonomisation des jeunes

Résumé du projet

Le Gouvernement du Niger avec l’appui technique et financier de UNFPA met en œuvre une Initiative pour les Adolescentes du Niger, appelée «BURKINTAREY BAYREY / ILLIMIN ZAMAN DUNIA : Le savoir pour la dignité ». Il s’agit d’une innovation qui est conçue pour aider les adolescentes vulnérables particulièrement celles qui sont déscolarisées ou non scolarisées dont l’âge est compris entre 10 et 19 ans à accroître leur capacités de résilience, pour qu’elles puissent devenir des femmes indépendantes et des mères en bonne santé. L’approche est centrée sur l’autonomisation des adolescentes pour leur permettre de retarder le mariage et la survenue des grossesses précoces, de participer à la vie socio-économique de leurs communautés, et de contribuer ainsi à l’accélération de l’exploitation du dividende démographique au Niger. C’est en ce sens que l’ONG AGIR PLUS a été retenue pour la mise en œuvre des activités du cycle 3 et 4 en partenariat avec les Directions Régionales de la Promotion de la Femme et de la Protection de l’Enfant.

Réalisations

224 adolescentes formées en fabrication de savon liquide 

75 adolescentes formées en fabrication de savon solide 

3525 adolescentes formées en transformation agroalimentaire ;

75 adolescentes formées en tricotage.

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Résumé du projet

 La situation d’insécurité relative aux agissements des terroristes de Boko Haram qui sévit dans le Nord Est du Nigeria a provoqué un déplacement massif des réfugiés et retournés vers le Niger.

C’est ainsi, avec l’aggravation de cette insécurité, la région de Diffa a commencé à enregistrer un nombre très important de réfugiés et retournés fuyant les attaques de Boko Haram.

La majorité de ces déplacés sont constitué par des jeunes déscolarisés et sans formation qualifiée pour mener des activités génératrices de revenus. Ainsi, ces jeunes sans autonomie financière s’adonnent à des activités comme le petit commerce et servent souvent de domestiques pendant que d’autres restent à ne rien faire.

Cette situation de désœuvrement entraine ces jeunes à des mauvaises pratiques tel l’enrôlement dans la secte Boko Haram.

C’est dans ce cadre que  l’ONG Agir Plus a bénéficié d’un financement de l’ambassade des Etats Unis au Niger (Fonds Julia Taft) pour mettre en œuvre les activités du projet de « Réinsertion socio professionnelle des jeunes réfugiés de la région de Diffa ».

Réalisations

40 filles refugiées ont bénéficié d’une formation en couture 

40 garçons refugiés ont bénéficié d’une formation en menuiserie bois.

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Résumé du projet

Search For Common Ground (SFCG) a initié son intervention au Niger en 2011 à travers un projet régional axé sur l’engagement des jeunes à prévenir la violence dans les environnements ruraux, périurbains et urbains dans les sept régions du Niger.

Les bureaux de SFCG Niger, Mali et Maroc ont mis en œuvre un programme de réinsertion des détenus dans les trois pays. Au Niger, ce sont les établissements pénitentiaires de Maradi, Gouré et Day kaina qui sont retenus comme centres pilotes. Pour ce faire, il est prévu la mise en place d’ateliers de formation professionnelle au profit  des détenus et le personnel pénitentiaire. C’est dans ce sens que l’ONG Agir Plus a été retenue pour assurer la mise en place des ateliers et la formations des bénéficiaires en menuiserie métallique, menuiserie bois, couture et mécanique moto. L’objectif final du projet est d’améliorer le système de réinsertion dans les établissements pénitentiaires et de favoriser une collaboration et un échange d’informations dans ce domaine entre les différents pays.

Réalisations

29 détenus et 4 personnels de l’administration pénitentiaire formés en couture à Maradi et gouré

66 détenus et 6 personnels l’administration pénitentiaire formés en menuiserie métallique à Maradi, Gouré et Daikaina ;

53 détenus et 6 personnels l’administration pénitentiaire formés en menuiserie bois à Maradi, Gouré et Daikaina ;

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Résumé du projet

AGIR PLUS a bénéficié d’un financement de l’Union Européenne à travers l’instrument Européen pour la démocratie et les droits de l’homme (IEDDH) pour la mise en œuvre du projet d’appui à l’amélioration des conditions de vie des détenus dans les maisons d’arrêts de Tahoua et Diffa.

L’objectif global de ce projet est de contribuer à la promotion des droits des détenus à travers l’amélioration de leurs conditions d’hygiène et d’assainissement et la réinsertion socioprofessionnelle. La mise en œuvre des activités du projet s’&tale sur 24 mois dans les deux maisons d’arrêt de Tahoua et Diffa.

Ce projet a permis aux bénéficiaires, de voir leur cadre de vie amélioré à travers la mise en place et le réaménagement de diverses infrastructures d’assainissement et d’hygiène et aussi d’avoir un cadre socio-éducatif pour faciliter leur réinsertion.

Réalisations

Deux (02) systèmes de canalisation réaménagés

15 douches et 15 latrines construites  et réhabilités

Toutes les femmes  et mineurs dotés en kits d’hygiène

Plus de 400 détenus sensibilisés sur les bonnes pratiques d’hygiène et d’assainissement 

04 ateliers artisanaux mis en place 

02 ateliers de couture crées

02 sites maraichers aménagés

Des cours d’alphabétisation animés

Deux espaces de loisir aménagés

Tous les détenus mineurs et femmes ont bénéficié d’un appui psycho social

24 détenus formés  en montage de microprojets 

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Résumé du projet

Le projet YAWWA (Youth, Advocacy, Women, Work and Alliances) financé par l’USAID et la SNV s’adresse particulièrement aux catégories les plus vulnérables que sont les femmes et les jeunes de par  leur accès limité aux ressources pouvant leur permettre d’améliorer leurs conditions d’existence. Il se trouve que cette jeunesse qui représente environ 67% de la population âgée de 25 ans, est exposée au chômage et au sous-emploi qui perdure et demeure un défi potentiel pour la stabilité et la sécurité. Pour atténuer ce phénomène de chômage et de sous emplois des jeunes, l’esprit d’entreprise et le leadership pour le développement ont été perçus comme une nécessité par la politique américaine en Afrique sub-saharienne. C’est dans ce contexte que le  projet, YAWWA a vu le jour, et s’est fixé pour ambition de renforcer les connaissances institutionnelles, la capacité et l’application des pratiques innovantes au Niger pour aider à résoudre les défis socio-économiques par l’augmentation des possibilités d’emploi innovantes dans plusieurs secteurs, en particulier pour les jeunes marginalisés.

Réalisations

Création d’une plate-forme d’innovateurs / entrepreneurs sociaux

Appui – Conseil  et renforcement capacités des innovateurs sociaux

Appui dans la résolution des défis socio-économiques

Augmentation des possibilités d’emploi et pratiques innovantes entrepreneuriales dans divers secteurs

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Résumé du projet

Au Niger, pays où 67% de la population a moins de 25 ans,  le problème du chômage et du sous-emploi des jeunes se pose avec acuité,  l’absence de débouchés  professionnels risquant de compromettre la stabilité politique et économique du pays. Depuis plusieurs années, on constate le développement de pratiques males saines surtout chez les mineurs. Il s’agit de la consommation des stupéfiants, le vol, le viol, voir les bagarres occasionnant souvent des pertes en vie humaine. Le Niger compte quelques 10025 détenus recensés dans 39 prisons civiles répartis sur le territoire national parmi lesquels on dénombre 396 mineurs dont  46 filles et 350 garçons (Source: Ministère de la Justice DGA/SP/R Février 2018). Depuis plusieurs années, l’Etat du Niger et ses partenaires ont développé et mis en œuvre plusieurs projets et programmes dans le but de faciliter la réinsertion socioprofessionnelle des mineurs dans beaucoup d’établissements pénitentiaires. Malgré tous ces efforts, le taux de récidive dépasse le seuil de 50%. Selon plusieurs acteurs, le manque d’accompagnement de ces mineurs dans leur vie post carcérale  ne permet de prévenir la récidive chez ces ex détenus qui une fois libérés, se retrouvent à nouveau dans les rues. Cet état de fait ne laisse pas chance de réinsertion à ces jeunes.

L’ONG agir Plus a été lauréate d’un concours organisé par Peace Tech Lab visant à sélectionner les meilleures propositions innovantes incluant les TIC dans la résolution de défis socio-économiques. Le projet proposé par Agir Plus consistant de mettre en place un dispositif d’accompagnement  basée sur la création d’un serveur et l’élaboration de formulaire individuel spécifique à chaque mineur renseignés au niveau des maisons d’arrêt et partagés de façon continue sur des plates formes TIC dans lequel se trouvent tous les acteurs et structures  intervenant dans le cadre de la réinsertion des jeunes. Ces acteurs reçoivent ainsi en amont de façon précise les types et formes d’accompagnement souhaités par ces mineurs et de prévoir des mesures pour appuyer leur réinsertion.

Réalisations

Mise en place d’outils TIC au niveau des maisons d’arrêt de Niamey, Maradi et Diffa

35 détenus et 6 personnels de l’administration pénitentiaire formés

Renforcement capacité des points focaux (Niamey, Maradi et Diffa)  sur l’utilisation de

l’application, la gestion des données et le suivi des groupes sur les réseaux sociaux 

Organisation de plusieurs rencontres d’information et de renforcement de capacité des différents acteurs (structures et chefs d’entreprises) sur les attentes du projet et l’utilisation de l’application au niveau de  Niamey, Diffa et Maradi